Leucorrhée
Phytothérapie classique
La plante maîtresse : Puissamment hémostatique, antispasmodique et sédatif nerveux, ainsi qu’hypotenseur particulièrement dédié à la femme, le gui, que les druides appelaient la « plante qui guérit tous les maux », est souverain en cas de leucorrhée. On n’utilisera, bien sûr, que les feuilles, et jamais les baies, en poudre, en macération ou encore sous forme de vin thérapeutique.